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Économie scientifique
25 septembre 2021

Hors-série : Vaccins, résumé de la problématique à fin septembre 2021.

Les recherches que j’ai réalisées dans les publications de recherche médicale et que j’ai rapportées dans deux précédents billets de mon blog internet [1] [2], identifient deux risques à des termes supérieurs au temps écoulé depuis le début des campagnes de vaccination.

Le premier risque est constitué par les anticorps facilitants. Le virus SRAS-Cov-2, à l’instar d’autres virus (comme celui de la dengue – mais pas ceux de la grippe saisonnière) peut générer des anticorps facilitants quand le taux d’anticorps neutralisants n’est pas suffisant. C’est ce problème qui a conduit à une catastrophe sanitaire aux Philippines en 2016 et 2017. [3] Une campagne de vaccination d’écoliers contre le virus de la dengue, a été abandonnée au bout de deux années suite aux cas graves et parfois mortels suivant une réinfection. Les anticorps facilitants, comme leur nom l’indique, au lieu de neutraliser le virus, facilite sa pénétration dans les cellules. Ainsi, en cas de réinfection, la maladie prend une forme plus grave que la primo-infection. Le virus de la Covid-19 est bien plus insidieux que celui de la grippe traditionnelle. Si l’on est réinfecté une seconde fois par le virus on risque de faire une forme plus grave. Et de ce point de vue la vaccination compte comme une première infection. En gros on gaspille le coup « gratuit » auquel on avait peut-être droit. Maintenant pour ce qui est des personnes à risque quant à la faiblesse de leur système immunitaire, la vaccination diminue bien le risque de développer une forme grave à la primo infection. Ça recule l’échéance.

Le second risque est constitué par la biodistribution de la protéine spike. Les vaccins ARNm (et ADN) contiennent des séquences génétiques qui ordonnent aux cellules du corps sur lesquelles elles viennent s’accrocher de fabriquer la protéine spike du SARS-Cov-2. L’injection étant une intramusculaire dans le bras, la protéine spike va être fabriquée par les cellules musculaires du bras auxquelles une séquence génétique va s’accrocher. Mais la question est : tout le vaccin reste-t-il dans le bras ? Les laboratoires fabricants affirment bien sûr qu’il n’y a qu’une proportion infime du vaccin qui ne reste pas dans le bras, une proportion trop infime pour présenter un quelconque risque. Mais ils ne fournissent aucune étude pour le démontrer. D’autres médecins-chercheurs ne sont pas du même avis. Et si une part de vaccin ne reste pas dans le bras, elle est emportée par ce qui coule dans le corps, le système lymphatique et les vaisseaux sanguins. Dans les vaisseaux capillaires, le flux sanguin est suffisamment faible pour que le vaccin se dépose sur les parois. Les cellules des parois sur lesquelles un code génétique va se fixer vont fabriquer une protéine spike qui va s’accrocher à la paroi de la cellule. Dans notre flux sanguin circulent des plaquettes dont l’objet est de détecter les vaisseaux endommagés et de fabriquer alors un caillot (microscopique dans le cas d’un capillaire) afin d’y bloquer le flux sanguin. Cela va se produire notamment dans des organes tels que le cerveau, la moelle épinière, le cœur et pire encore les poumons, où il n’y a pas de régénération, nous dit un médecin canadien, le docteur Hoffe. [4] Ainsi les personnes concernées seront plus facilement essoufflées et le cœur va se fatiguer à vaincre cette résistance supplémentaire contrariant l’écoulement du sang. De tels caillots sont si petits qu’ils ne sont pas détectables sur une photo IRM, par exemple. Le seul moyen de les détecter est de pratiquer un dosage D-dimères. Le docteur Hoffe a pratiqué un tel dosage sur ses patients vaccinés. Le résultat est que 62 % présentait un taux de D-dimères caractérisant l’existence de micro-caillots. Ce syndrome jusque-là inconnu a à présent reçu un nom dans la littérature de recherche médicale : thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par vaccination [VITT : vaccine-induced immune thrombotic thrombocytopenia]. [5]

Si, par ailleurs, on examine la base européenne de pharmacovigilance Eudra Vigilance [6] on y découvre à la dernière mise à jour du lundi 20 septembre 2021 que le nombre d’effets indésirables signalés comme possiblement dus à la vaccination est au total (4 vaccins) de 954 001. Pour s’affranchir des biais liés au nombre de ces effets qui sont réellement dus au vaccin et au nombre d’effets dus au vaccin qui n’ont pas été déclarés on peut faire un comparaison avec les effets secondaires déclarés pour les trois vaccins contre la grippe saisonnière. Le résultats est que, depuis les 7 à 8 années que la base de données Eudra Vigilance existe, 39 644 effets indésirables ont été enregistrés pour ces vaccins anti-grippaux. Donc, en environ 7 mois, il a été enregistré environ 24 fois plus d’effets indésirables avec les vaccins contre la Covod-19 qu’il n’en a été enregistré pendant 7 à 8 années avec les vaccins contre la grippe.

On pourra aussi noter que les personnes concernées par les effets secondaires de la vaccination anti Covid sont à 81,8 % âgées de moins de 65 ans (là aussi en moyenne sur l’ensemble des 4 vaccins).

N.B. : Pour voir ces données, cliquer sur « Accepter » sur la page d’accueil du lien [6].

Au-dessus de la liste des index alphabétiques cliquer sur l’onglet de droite « Rapports sur les effets indésirables suspectés des médicaments pour les substances ».

Pour les vaccins anti Covid cliquer sur la lettre « C », dans la liste alphabétique ce sont les quatre qui commencent par COVID-19 (Moderna ; Pfizer ; AstraZeneca et Janssen).

Pour les vaccins contre la grippe, il faut cliquer sur la lettre « I », dans la liste alphabétique ce sont les trois qui commencent par INFLUENZA VACCINE.

Vaccin_Pfizer_et_Astrazeneca

D’un côté, les investigations qui viennent d’être décrites expriment bien que le virus de la Covid-19 n’est pas un simple virus de grippe saisonnière, même forte. De par son aspect anticorps facilitants et son degré de contagiosité, c’est vraiment un virus vicieux, qui peut aussi se cacher sous des formes asymptomatiques. D’un autre côté, les vaccins actuellement proposés sur le marché, même si leur efficacité à réduire nettement les formes graves semble confirmée, ne sont pas plus rassurants, alors que leur efficacité vis-à-vis des contaminations s’avère en fait relativement faible. Ainsi, si une étude réalisée de mi-juin à mi-juillet en Israël sur le vaccin Pfizer-BioNTech - rendue publique le 23/07/2021 – lui reconnaît une efficacité d’environ 90 % pour empêcher les formes graves, elle ne lui attribue qu’une efficacité de 39 % quand à la limitation des contaminations. [7] Autant dire que le pass sanitaire ne sert pas à grand-chose. Si par exemple nous considérons une salle où 500 personnes non vaccinées sont réunies à une période de circulation importante du virus où par exemple 1 % des gens seraient porteurs, cela veut dire que, statistiquement, dans la salle 5 personnes sont contaminantes. Si, d’un autre côté, la même salle est emplie de personnes vaccinées, avec une efficacité à 40 %, cela veut dire que 3 sont quand même contaminantes. S’il y a un important brassage des personnes dans la salle (boîte de nuit par exemple) ou si la salle est peu ventilée, la probabilité d’être contaminé est à peu près la même qu’il y ait trois personnes contaminantes dans la salle ou qu’il y en ait cinq.

Un autre point est que la durée de protection du vaccin semble se montrer très réduite. Une très récente étude indienne réalisée sur 614 soignants entièrement vaccinés a révélé « une importante chute de leurs anticorps neutralisant contre la Covid dans les quatre mois suivant l’injection de la première dose ». [8] Comme les laboratoires eux-mêmes ont annoncé dès le départ que la protection n’est pleinement acquise qu’une à deux semaines après la seconde dose et que l’intervalle généralement recommandé entre les deux doses est de trois semaines, il en résulte que la protection du vaccin n’est pleinement efficace que pour pas plus de trois mois (donc a priori dans l’évitement de formes graves).

Rappelons-nous ici ce qui a été dit plus haut à propos de la biodistribution de la protéine spike. Si une partie du vaccin circule dans le système capillaire engendrant la création de protubérances de protéines spike sur ces petits vaisseau, ces effets néfastes devraient être cumulatifs avec le nombre de doses reçues. D’ailleurs, Fox News vient de révéler, le 17/09/2021 que la FDA (Agence américaine du médicament) ne vient quand même de n’autoriser une troisième dose du vaccin Pfizer que pour les personnes de plus de 65 ans ou à haut risque de développer une forme grave. La non autorisation d’une troisième dose pour les personnes plus jeunes est motivée par « un accroissement potentiel du risque d’inflammation cardiaque ». [9]

Il est par ailleurs à noter que l’âge moyen des personnes décédées de la Covid-19 est de 84 à 85 ans [10] (donc qui n’ont de toute façon en moyenne qu’une espérance de vie de l’ordre de trois années) alors que, d’un autre côté, nous avons vu que, selon les données enregistrées sur Eudra Vigilance, environ 82 % des effets secondaires des vaccins concernent des personnes de moins de 65 ans.

Quelques autres faits notables :

1) Dans un article publié le 13 juillet 2021, le média israélien Arutz Sheva révélait que sur la base de l’analyse de données présentées par le ministère israélien de la Santé, une personne vaccinée avait 6,72 fois plus de risques d’être infectée par le virus qu’une personne ayant subi une infection naturelle en a d’être réinfecté. [11] Ainsi, pour des personnes qui n’ont pas de risque de développer une forme grave, l’infection naturelle serait préférable car elle engendrerait une réponse immunitaire de bien meilleure qualité.

2) Parmi les effets secondaires enregistrés dans Eudra Vigilance, le site ne présente pas ceux qui se sont soldés par un décès. Il y a peut-être une bonne (ou mauvaise ?) raison à cela. Tournons-nous du côté de l’Écosse. Le 18 juillet 2021, le média alternatif Daily Expose révèle qu’après avoir reçu par douzaines des requêtes de demande d’information, Public Health Scotland a fini par fournir le nombre total au 11 juin 2021 de personnes décédées dans les 28 jours ayant suivi une injection d’une dose de vaccin : 5 522 sur une période d’à peu près 6 mois, soit environ 920 par mois en moyenne. L’article du Daily Expose remarque que ce nombre est supérieur au nombre moyen de personnes mortes mensuellement de la Covid-19 en Écosse : 866. [12] Donc si, pour l’Écosse, 866 personnes par mois qui décèdent - dans la population générale - en étant testées positives à la Covid-19 est la marque d’une grave épidémie, alors 920 personnes qui décèdent par mois - dans le sous-ensemble restreint de la population qui a reçu une dose de vaccin au cours des 28 jours précédents – est assurément une marque d’un problème encore plus grave d’effets secondaires létaux de la vaccination, ces décès ne pouvant ainsi que dans une part très faible s’expliquer par une coïncidence (c’est-à-dire que seule une faible proportion d’entre eux se seraient tout de même produits si les personnes n’avaient pas été vaccinées).

3) Dans un article du 9 août 2021 Les Échos publient un interview de l’épidémiologiste en chef islandais (dont je vous laisse lire le nom directement dans l’article des Échos). Alors que l’Islande était l’un des pays les plus vaccinés au monde (93 % des plus de 16 ans), le flux quotidien des infections y était également l’un des plus élevés au monde. L’épidémiologiste en chef a ainsi déclaré que « obtenir l’immunité collective par la vaccination est hors d’atteinte, la capacité des vaccins à empêcher une réinfection étant bien trop faible. Pour viser l’immunité collective, « il vaut mieux laisser les gens se contaminer naturellement ». [13]

La question de la balance globale bénéfice/risque demanderait donc à être sérieusement considérée. En tout cas une gestion raisonnable de la situation devrait exclure toute obligation vaccinale au vu de l’étendue des doutes et des incertitudes. Le recours aux vaccins actuels peut sans nul doute se justifier pour une personne ayant un risque significatif de développer une forme grave de la maladie. Mais sans obligation. En matière de prévention on peut aussi prendre des traitements pour renforcer le système immunitaire et limiter au strict nécessaire les contacts en appliquant de manière appropriée les gestes barrières : toutefois si ce dernier volet est parfaitement réalisable quand on est à la retraite chez soi, il l’est beaucoup moins quand on est âgé et que l’on vit dans un établissement pour personnes âgées ou quand on est plus jeune et dans la vie active. En tout état de cause le choix vaccinal devrait relever d’une décision personnelle dans le cadre familial en fonction du rapport bénéfice/risque que l’on attribue à sa propre situation – éventuellement avec les conseils de son médecin traitant de confiance.

 

D’autres options préventives devraient arriver sur le marché.

Vaccin_Sanofi_GSK

Ainsi, des vaccins traditionnels à protéines recombinantes devraient être disponible au dernier trimestre 2021, tel que celui de Sanofi. [14] Un tel vaccin repose sur la même technologie éprouvée que celle des vaccins contre la grippe saisonnière. Les protéines spike qui visent à enclencher la réponse immunitaire ne sont pas fabriquées par des cellules de la personne vaccinée, comme dans la nouvelle technologie des vaccins ARNm et ADN, mais sont directement introduites par le vaccin après avoir été créées en laboratoire. Cette technologie permet ainsi de s’affranchir du risque de la délocalisation de la création de la protéine sipke en différents lieux de l’organisme et notamment de protéines spike créées par les cellules des parois des vaisseaux capillaires tel que décrit plus avant.

En revanche le problème du risque de création d’anticorps facilitants reste inchangé avec un tel vaccin.

Vaccin_Covepit

Un peu plus tardivement, courant 2022, devrait apparaître sur le marché des vaccins basés sur les lymphocytes T mémoires sentinelles, tel que le vaccin CoVepiT développé par un laboratoire nantais, OSE Immunotherapics. [15] Qu’est-ce que les « lymphocytes T mémoires sentinelles » ? Une publication de l’Inserm explique simplement le contexte, c’est-à-dire comment s’articule la réponse immunitaire humaine face à une attaque virale : « En cas d’infection, le système immunitaire active d’abord une première ligne de défense, l’immunité innée. Celle-ci s’appuie notamment sur des cellules immunitaires capables de détruire les agents infectieux de manière non spécifique. L’immunité adaptative se met ensuite en place. Elle permet d’obtenir une réponse spécifique contre le pathogène en présence. Elle s’appuie quant à elle sur des lymphocytes B qui produisent des anticorps spécifiques de ce pathogène [les anticorps neutralisants], ainsi que sur des lymphocytes T capables de reconnaître et de détruire les cellules qu’il a infecté. Ces cellules disparaissent à l’issue de l’infection, mais un groupe de lymphocytes B et T "mémoires" persistent dans l’organisme. En cas de nouvelle infection, ils seront immédiatement réactivés et conduiront à une réponse spécifique, rapide et efficace. » [16]

Les vaccins ARNm et ADN, comme le vaccin traditionnel à protéines recombinantes de Sanofi précédemment cité, s’appuient sur la génération d’une réponse immunitaire par la création d’anticorps neutralisants. Avec un virus tel que SRAS-Cov-2 si cette réponse n’est pas suffisante, elle peut s’accompagner de la génération d’anticorps facilitants comme nous l’avons vu. Un vaccin tel que CoVepiT s’appuie au contraire sur la génération d’une réponse immunitaire par la création de lymphocytes T. Contrairement aux anticorps qui s’attaquent directement au virus (ici le SRAS-Cov-2), les lymphocytes T sont des cellules tueuses qui détruisent les cellules infectées (ici par le SRAS-Cov-2). Comme un virus se reproduit dans la cellule qu’il a infecté, l’action des lymphocytes T conduit au final à bloquer la réplication virale.

En plus d’éviter le problème des anticorps facilitants, un vaccin à lymphocytes T présente d’autres avantages.

Tout d’abord il est reconnu pour assurer une immunité à bien plus long terme que par les anticorps. On a vu que, pour la Covid-19, ces derniers tendent à chuter grandement au bout de trois mois. Les lymphocytes T, au contraire, pourraient maintenir une protection sur plusieurs années. C’est pourquoi les anciens malades de la Covid-19 pourraient être protégés bien plus longtemps que les vaccinés par anticorps. [17] En effet, nous avons vu qu’une infection naturelle génère à la fois une réponse immunitaire par anticorps (lymphocytes B) et par lymphocytes T.

Enfin, il pourrait apporter une protection plus élargie par rapport aux variants car, selon OSE Immunotherapics, il permet « d’anticiper l’évolution du virus en évitant les zones du génome portant déjà d’importantes mutations récurrentes ». Se reporter à [14] pour plus de détails.

[1] http://jpdevos91.canalblog.com/archives/2021/06/17/39019078.html

[2] http://jpdevos91.canalblog.com/archives/2021/09/02/39117838.html

[3] https://www.la-croix.com/Sciences-et-ethique/Sante/Sanofi-pourquoi-vaccin-contre-dengue-vire-cauchemar-2019-03-02-1201006031

[4] https://principia-scientific.com/doctor-heart-failure-from-mrna-jabs-will-kill-most-people

[5] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8148433/

[6] https://www.adrreports.eu/fr/search.html

[7] https://www.cnbc.com/2021/07/23/delta-variant-pfizer-covid-vaccine-39percent-effective-in-israel-prevents-severe-illness.html

[8] https://www.reuters.com/world/india/indian-study-finds-big-drop-covid-antibodies-within-four-months-vaccination-2021-09-14/?utm_campaign=trueAnthem%3A+Trending+Content&utm_medium=trueAnthem&utm_source=facebook

[9] https://www.foxnews.com/health/fda-panel-pfizer-covid-19-vaccine-booster

[10] https://www.20minutes.fr/sante/3022087-20210416-coronavirus-profil-type-100000-morts-liees-virus

[11] https://www.israelnationalnews.com/News/News.aspx/309762

[12] https://theexpose.uk/2021/07/18/5522-people-have-died-within-28-days-of-having-a-covid-19-vaccine-in-scotland-according-to-public-health-scotland/

[13] https://www.lesechos.fr/monde/europe/covid-19-lislande-sinterroge-sur-sa-strategie-dimmunite-collective-1337710

[14] https://www.sanofi.com/fr/nos-vaccins-contre-la-covid-19/vaccin-recombinant

[15] https://ose-immuno.com/ose-product/covepit/

[16] https://www.inserm.fr/actualite/comprendre-reponse-immunitaire-memoire-apres-covid-19/

[17] https://www.medisite.fr/coronavirus-covid-19-les-anciens-malades-pourraient-etre-immunises-a-long-terme.5574027.806703.html

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